Musique arabe

Source: Wikipedia. Pages: 121. Chapitres: Chanteur arabophone, Chanteuse arabophone, Instrument de la musique arabe, Musique algérienne, Musique arabo-andalouse, Musique irakienne, Musique jordanienne, Musique libanaise, Musique libyenne, Musique marocaine, Musique omanie, Musique palestinienne, Musique saoudienne, Musique syrienne, Musique tunisienne, Musique yéménite, Musique égyptienne, Dalida, Aïssawa, Oum Kalthoum, Gnaouas, Maqâm, Qanûn, Raï, Cheb Mami, Khaled, Ney, Abdel Halim Hafez, Muwashshah, Chaâbi algérois, Ghazal, Salwa Al Katrib, Chaoui, Darbouka, Rachid Taha, Gharnati, Samira Saïd, Farid El Atrache, Sama', Rabâb, Stambali, Malouf tunisien, Musique kurde, La Rachidia, Mohammed Abdel Wahab, Musique underground tunisienne, Daf, Musique kabyle, Amr Diab, Mezoued, Mariem Hassan, Rodolphe d'Erlanger, Lila, Nayda, Zurna, Kadhem Saher, Gasba, République unie, Discographie de Rachid Taha, Guembri, Qasida, Salma Ya Salama, Aash Al Maleek, Allaoui, Marie Jubran, Instruments de musique du Maroc, Sami El Djazairi, As-salam al-malaki al-ourdouni, Tar, Rock algérien, Nouba, Sayed Darwich, Ehab Tawfik, Qanbüs, Ahmed Hachlaf, Reggada, Bendir, Diplôme de musique arabe, Guillaume André Villoteau, Chaâbi marocain, Ragheb Alama, Mohamed Tahar Fergani, Melhoun, Sahli chgouri, Baligh Hamdi, Rahaba, Riqq, Jazz en Algérie, Conservatoire national de musique de Tunis, Mohamed Benabdeslam Al-Brihi, Sabah Fakhri, Arghoul, Kuitra, Simsimiyya, Qraqeb, Tabl, Sagattes, Ahlam, Zadjal, Bashraf, Hatem Guizani, Mandoluth, Ya Habayeb, Fadl Shaker, Wahrani, Djoza, Nacaire, Al Atlal, Taksim, Alam El Phan, Tab', Houzi, Omar Sarmini, Musique diwane, Musique staifi, Beldi, Hawfi, Doulab, Meddaha, Haiha, Islami Ya Misr, Nira, Bémol inversé, Qaca'id. Extrait: La musique marocaine est plurielle et se compose de quatre grands genres musicaux et d'une grande variété : la musique gnawa, le chaâbi, la andalouse, et la musique berbère. Chaque groupe musical en soi est constitué de sous-groupes régionaux, divisée en « moderne » et « traditionnel ». Au siècle apparaît une musique classique dérivant de la musique arabe produite par des artistes venant principalement d'Égypte ou Liban ; elle est chantée en Arabe classique ou littéraire. Les musiques du terroire marocain sont chantées dans l'arabe dialectal du Maroc (darija) et en amazigh. La musique amazigh (berbère) est aussi divisée en 3 grands groupes suivant les diverses régions et langues berbères utilisées : La musique arabo-andalouse, elle-même composée de sous groupes suivant les villes andalouses d'origine des réfugiés hispano-andalous installés au Maroc : Meknès, Fès, Rabat, Salé, Tanger, Tétouan, Oujda, Chefchaouen : elle peut être chantée en arabe littéraire ou dialectal, et parfois en espagnol ou en hébreu. La chanson marocaine se développera avec l'indépendance du pays. Deux grandes tendances se sont d'emblée révélées : l'une adoptant l'arabe classique et l'autre adoptant l'arabe dialectal ; la première reste classique en respectant un style conventionnel alors que la seconde introduit un répertoire plus léger, populaire plus proche du public. Dans les années 1970, une nouvelle forme de châabi apparaît avec des formations musicales citadines telles que Nass El Ghiwane, Jil Jilala, Lemchaheb, les frères Bouchenak ; elle marque un renouveau dans la musique marocaine. Le début des années 1980 fait connaître à un large public le phénomène de l'émergence de la . Cette musique (dite ethnique) recouvre la musique pop du...